NIKO, roman de Dimitri NASRALLAH, 2016, 396 pages

29/08/2016 00:22 par livresentete

  • NIKO, roman de Dimitri NASRALLAH, 2016, 396 pages

    NIKO, roman de Dimitri NASRALLAH, 2016, 396 pages

    29/08/2016 00:22 par livresentete

NASRALLAH Dimitri

 NIKO, LaPeuplade, roman, 2016, 396 pages

 Un roman relatant le vécu de migrants qui doivent se déplacer pour survivre à une guerre sanglante dans leur propre pays qui détruit  leur famille. leur maison, leur métier, la vie de plusieurs générations.

La solution ultime des migrants est de trouver un pays d'accueil et devenir des immigrants , des citoyens dans un pays d'accueil. La guerre oblige les hommes à se déplacer loin des conflits.Il faut fuir.   

La guerre cause des séparations, des morts, des générations séparées, des liens disparus à jamais.

 Les coupures des liens familiaux causent des cicatrices qui peuvent atteindre l'équilibre psychologique des populations déplacées.  

Un roman poignant, réaliste mais sans tomber dans le sensationnalisme. . Il faut garder espoir dans les capacités  de survie, de la stupéfiante résilience des humains. Un grand roman et un auteur à découvrir pour son écriture.

Gilles Lagrois, Auclair, Québec

www.livresentete.vip-blog.com

 

"Personne ne sait ce que nous réserve le futur.Le seul choix qui nous reste, c'est de vivre, de continuer à vivre et de découvrir ce qui va arriver ensuite.Tout ce qu'on peut faire, c'est espérer."

"Ça ne fait qu'empirer,tout partout autour: Mama, l'école, les bombardements. La tristesse."

NIKO, BABA,son père.

"Les essuie-glaces balaient du sang d'un côté et de l'autre du pare-brise. Un doigt est resté   accroché dans  un des essuie-glaces."

Voyage vers CHYPRE.Permis de séjour ou la déportation

 "C'est plus sécuritaire de dormir dans la rue n'importe où dans le monde entier que d'essayer de se construire un avenir au LIBAN."

"C'est  le petit gars heureux   que j'aime voir, ça."

"Mais NIKO sait qu'il vient de faire la même chose, et cette ville où il se trouve ressemble soudainement à l'endroit où vont les pères qui désirent  se cacher du reste du monde."

"Elle lui prend la main et revient vers leur maison avec cet homme perdu qui s'est retrouvé dans sa vie."

ANTOINE KARAM. "... le triste portrait d'un homme sans aucun contrôle sur son propre destin à la dérive."

"...ce n'est pas nous qui sommes partis, c'est notre maison  qui a disparu. On n'a plus rien vers quoi retourner."

"Les gens doivent garder une petite pièce au fond de leur âme, une petite pièce pour les choses qu'ils auraient pu faire autrement."

 

Pour en savoir davantage:

                                           ROMAN

Niko Karam, six ans, n’a jamais vécu en dehors de la guerre civile. Il quitte rarement son petit balcon d’où il voit le monde extérieur dégringoler. Mais après un attentat meurtrier à la voiture piégée, Niko est projeté dans un avenir réellement incertain. Son père et lui abandonnent Beyrouth et partent à la recherche d’un nouveau chez-soi. Ce sera le début d’une longue odyssée qui les conduira, chacun de leur côté, sur les mers ou dans les airs, vers d’autres sociétés.

Niko grandira chez une tante et un oncle à Montréal, remuant inlassablement les mêmes questions : Où est son père ? Est-il vivant ? L’importance de la lignée et des origines, formulée avec une empathie palpable, constitue l’unité fondamentale de ce roman, car c’est tout ce qui reste quand l’histoire perd la trace des êtres aimés.

Traduit de l’anglais (Canada) par Daniel Grenier.

http://lapeuplade.com/livres/niko/

L'ENFANT QUI SAVAIT PARLER LA LANGUE DES CHIENS, roman de Joanna GRUDA, 2013, 252 pages

26/08/2016 15:54 par livresentete

  • L'ENFANT QUI SAVAIT PARLER LA LANGUE DES CHIENS, roman de Joanna GRUDA, 2013, 252 pages

    L'ENFANT QUI SAVAIT PARLER LA LANGUE DES CHIENS, roman de Joanna GRUDA, 2013, 252 pages

    26/08/2016 15:54 par livresentete

 GRUDA Joanna

 L'ENFANT QUI SAVAIT PARLER LA LANGUE DES CHIENS, roman, Boréal, 2013, 252 pages

 Un roman qui relate l'histoire  d'un enfant Polonais qui a reçu une éducation avec les règles du communisme dans une colonie, la numéro 5, qui est une coopérative d'habitation créée par une Association de gauche. Il naît à Varsovie, en Pologne au début de la deuxième guerre mondiale.

Dès l'âge de deux ans , JULIAN  GRUDA change de milieu, de famille, de nom. De deux ans à quinze ans JULIAN change de nom cinq fois pour des raisons de sécurité politique. Ses parents sont des communistes engagés.Chaque fois, changement de village,changement d'école, d'amis, de nom, de papiers sous la supervision de sa mère Helena, appelée LENA.

JULIAN va même séjourner en FRANCE assez longtemps pour faire des études, apprendre et bien parler le français.

Un roman qui nous fait connaître la réalité de la vie d'un enfant polonais dans le temps de la guerre dans les années 1939-1945.

Un  roman à base historique, un vrai personnage qui a fini sa vie à Sainte-Angèle-de-Laval,  tout près de Trois-Rivières, Québec, Canada. Il a travaillé trente ans comme professeur de biochimie à l'université.

Gilles Lagrois, Auclair, Québec

www.livresentete.vip-blog.com

 

"Les parents ne sont pas toujours faciles à comprendre, ils ont leur logique bien à eux pour départager le bien et le mal."

"Le gène communiste est très fort dans la famille." 

 Le premier père est MICHAL GRUDA, appelé après  EMIL DEMKE, sa mère HELENA RAPPOPORT. Ses deuxièmes parents s'appellent FRUZIA et HUGO....ainsi de suite.

" ... les autres enfants ont conclu que je  connaissais la langue des chiens."

"Il n'y a rien à dire,la colonie de  vacances, ça me plaît."

"Mais pour ce qui est du maréchal PÉTAIN,c'est au mieux, un collabo opportuniste et, au pire, un vieillard facho et antisémite qui a précipité la chute de la France pour obtenir le pouvoir"

"Le 8 mai 1945, l'Allemagne signe sa reddition."  

 

Pour en savoir davantage:

                                               Résumé :

"Il y a des vies qui sont si étonnantes qu’on n’aurait pu les inventer. C’est le cas de celle de Julian Gruda, alias Jules Kryda, alias Roger Binet. Comment, à quatorze ans, un garçon peut-il déjà avoir emprunté autant d’identités? Avoir vécu avec autant de familles différentes sans se faire démasquer? Avoir servi d’agent secret de la Résistance? Comment peut-il avoir grandi à l’orphelinat même s’il a deux mères, au moins? Et surtout, où a-t-il appris à parler la langue des chiens, ce qui fait tant l’admiration de ses camarades?

En nous racontant sous forme romanesque l’histoire véridique de son père, Joanna Gruda dépeint une enfance hors du commun, qui commence à Varsovie à l’orée de la guerre et qui s’achève dans Paris libéré. À travers les yeux de Julek, ce sont les heures les plus sombres du siècle dernier qu’on voit défiler, mais rendues avec une vérité et une vivacité hors du commun. C’est la guerre – inhumaine, trop humaine –, comme si nous y étions. 

La nécessité, pour les Juifs d’Europe, de fuir et de se cacher, les délices de l’école buissonnière, l’occupation allemande, les amourettes heureuses ou malheureuses, les bombardements qui ont accompagné l’offensive alliée, la joie de retrouver les êtres aimés qu’on croyait perdus, l’abîme dans les yeux de ceux qui sont revenus des camps, tout cela est raconté sans la moindre sentimentalité, rendant plus palpable encore le tragique qui imprègne ces années sombres.

Mais ce récit captivant est d’abord l’histoire d’un enfant qui garde sa capacité d’étonnement devant les tours et les détours du destin. Animé d’un espoir inextinguible, il nous donne une extraordinaire leçon de survie." L'éditeur

 

"La réalité de la guerre (la 2e Guerre mondiale) sur la vie d'un jeune garçon polonais (le père de l'auteure) obligé, par l'action militante de ses parents dans le parti communiste, de s'exiler en France et par la suite de subir de nombreux déménagements dans des familles d'accueil tout au long du conflit. Je recommanderais ce récit à une clientèle jeunesse : l'écriture est simple, vive et les chapitres courts contribuent à une lecture facilement abordable.

Excellent récit d'un Polonais qui a survécu à la 2e guerre mondiale. Ce qu'on retient c'est le courage et la résilience de cet enfant, ballotté d'une famille à une autre mais qui s'adapte sans difficulté. Je me demande si la situation se répéterait aujourd'hui combien d'enfants seraient capables de survivre!!!

 

Le ton est frais, le discours simple mais jamais simpliste et le tout sonne juste. On sourit, on dévore les chapitres comme autant d'aventures rocambolesques et on se surprend à vouloir rencontrer Julek-Julian-Jules-Roger, qui s'appelle en fait Ludwik,_ toute une histoire et quelle histoire !
L'écriture pudique de Joanna Gruda rend un vibrant hommage à son père et le fait accéder ainsi à la postérité. Un beau cadeau à faire et à se faire !" www.babelio.com

LA RONDE DES MENSONGES, roman d' Elizabeth GEORGE, 2012, 656 pages

23/08/2016 22:43 par livresentete

  • LA RONDE DES MENSONGES, roman d' Elizabeth GEORGE, 2012, 656 pages

    LA RONDE DES MENSONGES, roman d' Elizabeth GEORGE, 2012, 656 pages

    23/08/2016 22:43 par livresentete

GEORGE Elizabeth

 LA RONDE DES MENSONGES, Presses de la Cité, 2012, 656 pages

 Un roman dont le sujet principal est une histoire qui tourne autour d'une famille abracadabrante.

Avant de connaître et trouver la vérité, il faut dans ce roman  se farcir, se taper la RONDE DES MENSONGES  d'une  famille disloquée et de la plupart de ses protagonistes selon le rôle de chacun et de leurs liens familiaux fragiles. La mère et le père mènent une vie de château de riches mais ...   

Une écriture inlassable, agile et une auteure à découvrir dans le genre enquête policière approfondie dans un monde à la Charles Dickens.  

Gilles Lagrois, Auclair, Québec

www.livresentete.vip-blog.com

 

"Je suis entourée de menteurs et de forbans."

ZED BENJAMIN, ZEDEKIAH. Journal  THE SOURCE.

"Tout le monde a quelque chose à cacher . Tout le monde répond à vos questions par des mensonges."

"IAN.KAVEH et lui vivaient ensemble depuis plus d'un an maintenant, l'heure était venue de leur dire la vérité  à propos de ce qu'ils étaient  l'un pour l'autre."

Oncle de IAN. BERNARD FAIRCLOUGH."Je t'accepte tel que tu es, tu dois par conséquent m'accepter tel que je suis; car la vie est une suite de compromis."

"Après un certain âge, oui. Le passé est un bagage lourd à porter."

NIAMH. ex femme de IAN CRESSWELL.Mère de TIM et GRACIE.

NICHOLAS. ALATEA."... parce que loin d'être un idiot, il savait à quel point leur couple était incompatible, du moins aux yeux d'un monde qui jugeait d'après les apparences."

"Il y a toujours plusieurs points de vue sur  chaque chose."    

"Parce que les gens croient ce qu'ils veulent et qui les arrange."

NICKY.ALATEA. "Cette RONDE  DES MENSONGES ...et nous sommes au milieu, toi et moi, ma mère, mon père, mes soeurs sûrement."

"Choisir les bons mots-clés et suivre le fil conducteur."

MIGNON.VALÉRIE,sa mère."Des gens comme toi pourraient justifier qu'on tue ses enfants à la naissance."  

 

Pour en savoir davantage:

                                                      

"Ian Cresswell, neveu et héritier du richissime Lord Bernard Fairclough, est retrouvé mort noyé. Envoyé en Cumbria, la région des lacs qui inspira tant d'artistes et écrivains, pour enquêter en toute discrétion sur cette tragédie, l'inspecteur Lynley va devoir se frotter aux « bonnes mœurs » de la haute société anglaise.
Un fils drogué repenti et sa sulfureuse femme, des sœurs jumelles instables... Avec son flair légendaire, Lynley pourrait bien mettre au jour quelques secrets de famille.
Mais l'inspecteur lui-même risque de faire les frais de ces révélations…"

 

"C'est un gros roman (660 pages), qui déconcerte un peu : longtemps, on se demande ce qui se cache derrière cette intrigue assez modeste. Un homme est mort noyé en glissant sur la dalle mal scellée d'un débarcadère privé sur le Lac Windermere. La Police locale et le Coroner ont conclu à un accident. 
Mais il est le neveu et collaborateur du patron d'une boîte industrielle : Sir Bernard, récemment anobli, a des doutes et obtient de ses relations londoniennes qu'un inspecteur de Scotland Yard vienne enquêter discrètement .

Noblesse oblige, le héros récurrent d'Elizabeth George, l'improbable Inspecteur-Comte Lynley sera dépêché sur place, c'est à dire dans le district de Cumbria, superbe contrée du Nord de l'Angleterre, prise entre marées géantes et montagnes primaires.
Notre homme et ses assistants, que l'on croyait pourtant habiles, vont faire beaucoup de dégâts dans une famille névrosée, ou chacun a quelque pauvre secret à cacher. 
L'auteur saisit cette occasion pour traiter des plaies de l'Angleterre et de l'Europe moderne : la presse à sensation, ici représentée par un journaliste désopilant de naïveté, l'influence de l'argent, la violation de la vie privée, la démobilisation de la Police, et, bien pire, la maltraitance des enfants, dans la veine de Charles Dickens
La dramatique fin du roman signe le grand art de l'auteure : imagination, suspense, bouleversements vous font oublier la relative langueur du début. Nul ne doute du succès de ce livre"

www.babelio.com

NÉMÉSIS, roman de Philip ROTH, 2010, 265 pages

17/08/2016 21:35 par livresentete

  • NÉMÉSIS, roman de Philip ROTH, 2010, 265 pages

    NÉMÉSIS, roman de Philip ROTH, 2010, 265 pages

    17/08/2016 21:35 par livresentete

      PHILIP ROTH

     Némésis, 2010, 265 pages

trad. Marie-Claire Pasquier : Némésis, 2010

Un roman touchant et réaliste  qui nous fait connaître et comprendre les conséquences intrinsèques d'une maladie grave comme la POLIO;maladie qui cause la mort mais également détruit l'avenir et les projets d'une vie des enfants et adultes atteints.

Philip ROTH décrit avec talent, avec tendresse mais aussi un cruel réalisme , nos réactions face aux tragédies, le jeu des circonstances sur nos vies sur lesquelles parfois nous avons peu de pouvoir comme sur les maladies graves comme la POLIO et bien d'autres plus actuelles.   

Gilles Lagrois, Auclair, Québec

www.livresentete.vip-blog.com

"Et ALAIN  a donné plus de joie aux autres que la plupart des gens au cours de toute une vie. La vie d'ALAIN est terminée...mort de la POLIO à douze ans."

"C'étaient les chiffres terrifiants qui retraçaient les progrès d'une maladie horrible, la POLIO...correspondaient au nombre de morts, de blessés et de disparus dans la vraie  guerre...une guerre déclarée contre les enfants de Newark."

BUCKY."..un tapage qui lui rappelait à quel point il aimait les enfants et la raison pour laquelle il adorait son travail."

"...il avait appris à être un homme habile par un sens aigu de ses responsabilités, prêt à défendre ce qui était juste."

"Il ne pouvait pas alller retrouver une tragédie dont il était impuissant à changer les conditions."

MARCIA."Tu  crois que c'est ton corps qui est déformé, mais ce qui vraiment déformé, c'est ton esprit."

"DIEU, le grand criminel! Seul un démon pouvait inventer la POLIO.

Seul un démon pouvait inventer une Seconde Guerre Mondiale.

"Ne vous battez pas contre vous-même."

Pour en savoir davantage:

 Résumé :

"C'est le long et chaud été de 1944 dans le quartier Weequahic de Newark. La plupart des jeunes hommes du pays sont engagés à l'étranger, mais Bucky Cantor, un muscle-bound, instructeur de 23 ans PE, est coincé à la maison à cause de ses yeux louches. Au lieu d'aider son pays dans la lutte contre Hitler, son travail pour l'été est de superviser le bien-être d'un groupe d'enfants, en tant que directeur de l'un des terrains de jeux de la ville. C'est à peine le rôle glorieux qu'il voulait pour lui-même, mais Bucky, qui a un sens profond de l'honneur, se rapproche de ses fonctions - du moins au début - avec un dévouement inlassable."

 

"Pendant que la jeunesse se bat dans le Pacifique ou en Europe, comme si le malheur n'y suffisait pas, une terrible épidémie de poliomyélite frappe, en cet été 44 la petite ville de Newark. C'est là que vit Bucky Cantor jeune professeur de sport à qui la vie semble sourire, les gosses l'adorent et la belle Marcia lui est promise. Mais Bucky se reproche d'être au pays pendant que ces amis se battent pour la liberté. Alors quand la maladie attaque les jeunes dont il s'occupe, Cantor se torture les méninges. Est-il responsable de ce malheur ? Pourquoi Dieu ou les Dieux s'en prennent à des innocents ? A t'il le droit d'être heureux alors que l'épidémie se répand à une vitesse galopante et cause désolation et peur légitime ? Comment passer à côté d'un destin qui semble tout tracé ? La vengeance de Némésisest impitoyable. 
Roth s'interroge sur la destinée, la culpabilité, sur nos croyances. Il ne porte pas de jugement, n'apporte pas de pistes, il relate juste l'histoire d'un homme trop sensible, qui refuse l'inacceptable, qui s'accable de tous les maux. Qui préfère se couper des autres, se plonger dans la solitude pour payer sa part de malheur.
Comme à l'accoutumé chez Roth, le brio de la narration fait merveille. Il nous interroge sur nos questionnements de mortel sans la moindre baisse de rythme. Une nouvelle fois, un grand bouquin.
A quand le Nobel de littérature pour ce géant ?" www.babelio.com

ELLES ONT FAIT L'AMÉRIQUE, tome 1 de De remarquables oubliés, de Serge BOUCHARD et Marie-Christine LÉVESQUE, 2011, 431 pages

14/08/2016 22:05 par livresentete

  • ELLES ONT FAIT L'AMÉRIQUE, tome 1 de De remarquables oubliés, de Serge BOUCHARD et Marie-Christine LÉVESQUE, 2011, 431 pages

    ELLES ONT FAIT L'AMÉRIQUE, tome 1 de De remarquables oubliés, de Serge BOUCHARD et Marie-Christine LÉVESQUE, 2011, 431 pages

    14/08/2016 22:05 par livresentete

BOUCHARD Serge, LÉVESQUE Marie-Christine

ELLES ONT FAIT L'AMÉRIQUE, De remarquables oubliés, tome1, Lux, 2011, 431 pages

Quel livre remarquable! Notre histoire à notre portée. L'histoire de l'Amérique à la Québécoise française car les Québécois étaient omniprésents partout en Amérique.

 Dans le tome 1, nous dévouvrons le rôle actif, la présence constante, la force de caractère, l'énergie, la détermination des FEMMES dans nos vies depuis des siècles en Amérique. Nous découvrons des FEMMES dont nous ignorions les noms, les rôles et l'importance dans l'évolution de notre histoire à l'Américaine.

Un livre de chevet. Une histoire qu'est la nôtre en AMÉRIQUE.Un grand livre et un historien hors pair à découvrir.  

Gilles Lagrois, Auclair, Québec

www.livresentete.vip-blog.com

"Dans  les versions officielles, en, anglais comme en français, on nous a souvent menti en nous présentant préfabriqués. Rien sur les Amérindiens et sur leur rôle dans  la construction de l'Amérique comme nous la connaisssons."

"Terre-Neuve. Les BÉOTHUKS. Autrefois, on autorisait les Blancs à les abattre, maintenant le gouvernement de Terre-Neuve octroie des primes pour la capture de Béothuks vivants." Peuple autochtone maintenant disparu.

Mina Benson Hubbard. Oui, MINA est vraiment une femme exceptionnelle. Exploratrice, riche, de caractère ferme, mariée à un riche anglais. Elle a un caractère exceptionnel.

Esther Wheelright.1703, sept ans, enlevée par des Abénaquis et des Canadiens.

Les sauvages sont passés...les Indiens nous rapportaient les enfants des femmes indiennes enceintes des Blancs.

Pawnees, nation améridienne, dans le commerce des enfants panis vendus comme esclaves par les Blancs vainqueurs.

Oui, il y avait des esclaves en Nouvelle-France, et en particulier des Amérindiens.  

Puis vers 1680, les IROQUOIS se mirent à en faire le commerce avec les FRANÇAIS...les personnes devinrent objets d'échange. En 1709, sous l'intendant JACQUES RAUDOT, l'esclavage devient légal en Nouvelle-France.

Émilie FORTIN-TREMBLAY. Prospecteur d'or. Alaska, Yukon, rivière Foryy Mile, canyon, Miler Creek.  Quatre mois de voyagement, Seatle, train, bateau, à pied, en traîneau, en chaloupe, en tout cinq mille de milles. Elle devient ÉMILIE-TREMBLAY-LAGROIS.

Pour en savoir davantage;

 "Les femmes sont absentes de l’histoire officielle de l’Amérique – ne le dit-on pas assez ? Les Amérindiennes certainement, mais aussi toutes les autres, sans distinction culturelle : Inuites, Canadiennes, Anglaises, Noires, Françaises et Métisses. Plusieurs d’entre elles sont des êtres d’exception dont le contact avec ce vaste continent a révélé l’intelligence et le caractère. Elles ont fait l’Amérique rétablit la mémoire de quinze de ces «â€ˆremarquables oubliées », héroïnes aux exploits invisibles, résistantes, pionnières, aventurières, diplomates, scientifiques, exploratrices ou artistes…

Ce livre s’inspire du matériau et de la philosophie de la série radiophonique De remarquables oubliés, produite et diffusée par la Première Chaîne de Radio-Canada. La version littéraire donne une nouvelle vie à l’ambition des deux auteurs : regarder l’envers de l’histoire pour éclairer le visage des gens ordinaires, qui souvent en sont les véritables acteurs."

 

http://www.luxediteur.com/catalogue/elles-ont-fait-lamerique/

LaPresse16 juin 2011

Ce sont 15 femmes aux destins hors de l'ordinaire qui nous sont présentées dans ce premier tome. On lit ces récits comme des contes. «On pourrait faire des films à grand déploiement avec l'histoire d'au moins cinq de ces femmes, s'emporte Serge Bouchard. Je verrais bien Bruce Willis accompagner Mina Hubbard dans ses explorations au Labrador», poursuit-il, amusé.

 

Confrontée à des responsabilités masculines, la femme devient vite hystérique. Toutes ses tares et limites lui viennent de son bas-ventre, région mystérieuse qui est la source de tous les dérèglements. Développer un cerveau féminin entraîne l’atrophie de l’utérus. Entre la tête et le ventre, il faut choisir, et le choix s’impose: la femme est d’abord une génitrice et une épouse; elle n’a pas de compte à la banque, elle ne signe pas de chèques, elle n’est pas propriétaire. C’est une créature soumise au bon vouloir de l’homme.

 

   Écrire sous un pseudonyme permettait à Robertine d’émettre ses idées, de bafouer les conventions avec un peu plus de liberté. Cela lui permettait surtout d’être journaliste, une profession déshonorante s’il en était, même pour un homme – imaginez une femme journaliste, une bourgeoise en plus! Ce déshonneur aurait éclaboussé toute sa famille.

www.babelio.com

LE FILS DES GLACES, roman d'aventure de Elizabeth McGREGOR, 2002, 453 pages

11/08/2016 00:04 par livresentete

  • LE FILS DES GLACES, roman d'aventure de Elizabeth McGREGOR, 2002, 453 pages

    LE FILS DES GLACES, roman d'aventure de Elizabeth McGREGOR, 2002, 453 pages

    11/08/2016 00:04 par livresentete

McGREGOR Elizabeth 

LE FILS DES GLACES, JCLattès, 2002, 453 pages,

 Un roman d'aventure captivant qui nous fait  vivre simultanément deux époques: l'une , celle de JOHN FRANKLIN, 1845, navigateur et explorateur britannique en ARCTIQUE, l'autre celle de DOUGLAS MARSHALL, 2000, archéologue qui a passé sa vie à élucider ce mystère qu'est l'expédition de JOHN FRANKLIN qui  tentait de trouver le PASSAGE  du NORD-OUEST.

Archéologie. Au fin fond du monde en l'an 2000. DOUGLAS MARSHALL, né en 1960. Un globe-trotteur en quête de fragments de poterie.Il s'est volatisé sur le continent de glace et de neige, l'ARCTIQUE.Il s'agit d'un projet scientifique. Une expédition.

  

Un roman d'aventure historique polaire  FASCINANTet une auteure  de talent à découvrir.  

Gilles Lagrois, Auclair, Québec

www.livresentete.vip-blog.com

 

JO."Elle avait vingt-six ans et travaillait depuis quatre ans en free-lance au Courier où              GINA était sa rédactrice."

"Le gars disparu à un endroit appelé UUMMANNATSAQ."

DOUGLAS MARSHALLL. JOHN, son fils. "Je suis en vie bordel, avait-il envie de crier. Je ne suis pas un héros mort. Je suis en vie."

"Cinq épaisseurs de bois de 25 cm, C'est ça Le TERROR,C'est ce dont est fait un navire anglais. FRANCIS CROZIER."

"C'est l'INUIT qui a réussit à contacter les secours. Un travail de héros! Ils ont récupéré MARSHALL il y a une heure. Marshall s'est cassé la jambe."

GUS."La glace a ses relâchements. Elle s'emballe. se relâche, s'emballe,se relâche.Tout ça fait partie de la même chose."  

DOUG.ALICIA." Elle ne m'aime pas. Elle ne veut pas me lâcher. C'est un parasite

 

Pour en savoir davantage:

 

"Lorsque la jeune journaliste anglaise, Jo Harper, tombe amoureuse de l'archéologue Douglas Marshall, elle ne se doute pas qu'elle va aussi épouser son obsession : le sort de l'expédition Franklin disparue en 1845 en Arctique alors qu'elle tentait de trouver le Passage du NordOuest.

Douglas a consacré sa vie à élucider ce mystère, au détriment de son premier mariage et, surtout, de sa relation avec son fils John. Mais le malheur s'abat sur Jo lorsque Douglas disparaît tragiquement. Cherchant désespérément à renouer avec John, la jeune femme découvre que ce dernier s'est lancé seul dans une impossible aventure dans le Grand Nord pour réaliser le rêve de Douglas.

Jo va se précipiter à son tour dans une folle course contre la montre pour sauver son beau-fils et la vie d'un tout jeune enfant qui a tant besoin de son frère.

 

Avec ce roman où l'aventure, le courage et la toute-puissance de l'amour sont intimement mêlés, Elizabeth McGregor est devenue un auteur reconnu en Europe et aux Etats-Unis." L'éditeur

LA CAUSE ÉTAIT BELLE, roman polar de Lee CHILD, 2014, 395 pages

06/08/2016 19:18 par livresentete

  • LA CAUSE ÉTAIT BELLE, roman polar de Lee CHILD, 2014, 395 pages

    LA CAUSE ÉTAIT BELLE, roman polar de Lee CHILD, 2014, 395 pages

    06/08/2016 19:18 par livresentete

LEE CHILD

LA CAUSE ÉTAIT BELLE, calmann-lévy, 2014, 395 pages

 Un autre roma du genre polar de JACK REACHER très réussi. L'ex-policier militaire se surpasse et rend justice dans un village où les hommes d'une riche famille abusent  de la population en les manipulant économiquement depuis plus de quinze ans.

Un roman polar de haut niveau grâce au talent d'écriture de l'auteur.

Gilles Lagrois, Auclair, Québec

www.livresentete.vip-blog.com

 

"...le talon de la chaussure de REACHER entrait en contact avec la rotule du type, dans l'axe ,enfonçant l'os rond profondément dans l'articulation, le cassant, rompant les ligaments,  arrachant les tendons. "   

JACK. DOCTEUR." Vous êtes cinglé, vous savez?--Je préfère penser que je suis consciencieux."

"Prudence vaut mieux que regrets."

 Iranien. " Le poing de REACHER fusa, les yeux du type s'écarquillèrent, envahis de panique dans la pénombre. Le poing de REACHER atterrit. Masse de cent vingt kilos en mouvement, poing énorme, la fermeture Éclair du manteau du type qui s'enfonce dans le sternum."  Commotion cordis...arythmie cardiaque mortelle.

"Il fallait simplement qu'il soit intelligent d'une manière différente. Qu'il adopte un autre point de vue."

"La perception est la réalité, au moins la moitié du temps."

"C'étaient des chiens alpha, des hommes de main."

 REACHER,"IL ÉTAIT OBSERVATEUR. SA CAPACITÉ À NOTER LES DÉTAILS L'AVAIT AIDÉ TOUTE SA VIE."

 

Pour en savoir davantage:

                                          Résumé :

«ll s'appelle Reacher.
Jack Reacher.»
Rolling Stone

Jack Reacher traverse le Nebraska pour rejoindre la Virginie et sa supérieure – à la voix terriblement sexy – de la 110e Unité Spéciale quand il rencontre, dans un pub, quelques individus tous plus effrayés les uns que les autres. Intrigué, il comprend vite que, depuis des décennies, les trois frères Duncan et leur fils font régner la terreur dans ce coin perdu du grand Ouest américain, où les routes traversent de gigantesques «nulle part». Sans compter que la disparition d’une fillette, vingt-cinq ans plus tôt, n’a jamais été élucidée. Incapable de fermer les yeux sur ce qu’il a entrevu et qui lui déplaît au plus haut point, Reacher s’en mêle et se retrouve vite aux prises avec des gens pour qui manipuler, tuer et truander est une seconde nature.

Mais Reacher, c’est Reacher.
Et la cause était belle…

 

Nom : Reacher.
Prénom : Jack.
Signe particulier : poor lonesome cow-boy, ou quelque chose d'approchant.
Nous sommes en plein western, il ne faut pas se leurrer. Jack Reacher est seul contre tous, ou peu s'en faut. Nous sommes au fin fond du Nebraska, un état dont personne ne parle jamais – ou presque. Nous sommes dans une petite communauté rurale, à la merci des seigneurs locaux, une famille qui règne en maître, en dépit des lois les plus élémentaires des Etats-Unis. Un monde tellement clos que personne ne tente plus depuis belle lurette de se rebeller. La seule solution ? La fuite. Loin, très loin. Ai-je oublié de préciser que nous étions dans une petite communauté agricole ? Ne cherchez pas d'industrie – elle n'a jamais existé ici – ne cherchez pas de tourisme – l'unique motel survit comme il peut. Cherchez des champs de maïs à perte de vue, un médecin qui noie ses tourments dans l'alcool, des personnes qui se terrent chez elle. Circulez, il n'y a plus rien à voir – ou presque.
Le lecteur peut légitimement se demander ce que Jack Reacher fait là – même s'il se rend vers la Virginie, le chemin est un peu long. En tout cas, il ne chôme pas, ne se ménage pas – les douleurs physiques finissent par passer, les douleurs morales éprouvées depuis des années par certaines victimes des Duncan, toujours pas. Au passage, Jack Reacher donne quelques leçons de combats que certains scénaristes et autres auteurs de romans feraient bien de méditer. La physique a ses lois. le corps humain ses faiblesses.
Roman d'action, oui, mais aussi roman qui nous questionne sur les lâchetés, plus ou moins grandes dont on est capable juste pour mener une petite vie bien tranquille, en se plaignant un peu, d'accord, en fermant les yeux, aussi, de temps en temps, puis de plus en plus souvent, en transgressant les règles, les lois, juste un peu. Et l'on s'aperçoit que l'on survit à peine. Il ne suffit pas de fermer les yeux,il faut aussi constater ce qui manque, ce que l'on n'a pas fait.
Les fantômes n'existent pas, martèle Jack Reacher. Il aurait peut-être mieux valu qu'ils existent, plutôt que de découvrir ce que le lecteur découvre avec lui. www.babelio.com

LA LISTE, de Jérémy DEMAY, Un monde différent, 2015, 190 pages

03/08/2016 13:47 par livresentete

  • LA LISTE, de Jérémy DEMAY, Un monde différent, 2015, 190 pages

    LA LISTE, de Jérémy DEMAY, Un monde différent, 2015, 190 pages

    03/08/2016 13:47 par livresentete

DEMAY Jérémy

 LA LISTE, Un monde différent, 2015, 190 pages

 L'auteur est un humoriste connu et un philosophe du bonheur. Il nous fait part de ses essais, de ses échecs, de ses réussites pour être un homme heureux. Le bonheur,ça part de soi-même.Un livre qui nous dit les vraies affaires pour être heureux.Le principe de base est:"Nos pensées gouvernent tout."   

Un livre qui nous dévoile les secrets du bonheur qui résident en chacun de nous.Il suffit de passer à l'acte.

Un livre à ne pas manquer; le bonheur ne dépend que de nous. Un auteur, un conseiller qui nous livre ses sources du bonheur personnel.

Un livre fabuleux.

 

Gilles Lagrois, Auclair, Québec

www.livresentete.vip-blog.com

 

"Une des définitions de la dépression: Ne pas accepter ce qui est."

"Un état d'esprit positif t'aide non seulement à imaginer ce que tu veux être mais t'aide aussi à le devenir." Wally Amos

" Un adulte, c'est un enfant qui a oublié."

"...savoir ce que l'on veut."

"Il faut le croire pour le voir."

"Ce n'est pas parce que  les choses sont difficiles que nous n'osons pas, c'est parce que nous n'osons pas qu'elles sont difficiles." Sénèque

" Nos pensées gouvernent tout."

"Les gens négatifs sont beaucoup plus malades que les individus positifs."

"Les mots possèdent un grand pouvoir; ils peuvent tout aussi bien créer un moment que le détruire." Susan Gale

"Et derrière ce besoin de contrôle, se terraient des peurs."

"Toutes les peurs sont des illusions de notre esprit."

"Les gens qui nous causent le plus de difficultés sont aussi nos plus grands maîtres. Lâcher prise."

"Les gens heureux ne perdent pas leur temps à faire mal aux autres."

"Pardonnez  pour vous faire du bien."

"En général, les gens sont heureux dans la mesure où ils décident de l'être."  

"Change ta façon de voir les choses, et les choses que tu regardes changeront."  

 

Pour en savoir davantage:

                                          Résumé

L'humoriste Jérémy Demay est arrivé au Québec il y a 10 ans. Sans famille, sans ami, juste avec sa petite valise et un rêve : celui de conquérir le Québec avec son humour. Pour cela, il a dû faire face au milieu du show-business qui a été dur avec lui à ses débuts. Il a également dû faire face à lui-même à la suite d'une dépression qu'il a vécue en 2009. Il a alors décidé de renaître pour devenir un homme heureux.

Ce livre est un condensé de tous les outils qui lui ont servi à réussir sa vie, mais aussi dans la vie. Il dit d'ailleurs qu'il a écrit le livre qu'il aurait aimé lire il y a six ans.


"Ce livre inspirant de l’humoriste Jérémy Demay m’a complètement renversé. Comment un homme si jeune peut-il être si sage dans ces propos? Jérémy nous livre une liste d’outils en 30 points qui l’ont aidé et qui vous aidera aussi à accéder à une vie fabuleuse, à vivre vos rêves et vous sentir épanoui.

Encensé par la critique, (Alex Nevsky, Louis-François Marcotte, Gilbert Rozon, Christine Michaud, Frédéric Lenoir entre autres) ce livre est pour moi une vraie révélation pour le développement personnel.

Les 30 chapitres sont courts et clairs et ce que j’aime par-dessus-tout ce sont les petits post-il à la fin de ceux-ci, qui nous laisse en une phrase un résumé du chapitre, aussi les phrases importantes de chacun des chapitres est en gras pour aider à notre réflexion. De plus, pour introduire chacun des chapitres, on y trouve une citation d’auteur ou de gens marquants comme (Mahatma Gandhi, Wally Amos, Albert Einstein, Nora Roberts, Marcel Pagnol, Denis Waitley, Paul Éluard, Winston Churchill, T. Harv Eker, Hans Christian Handersen, Sénèque, Franklin Delano Roosevelt, William James, Mark Twain, Muhammad Ali, Abraham Lincoln) et plusieurs autres.

Je me sens reconnaissante envers Jérémy Demay d’avoir écrit ce livre. On constate les nombreuses recherches et lectures de sa part qu’il a ensuite résumées pour en faire un beau condensé. Il nous donne aussi quelques petits exercices à faire à l’occasion, (comme de passer 7 jours sans cultiver une seule pensée négative et si ça arrive la remplacer par une pensée positive). Vous verrez, ce n’est pas toujours évident, mais quel bonheur ça nous procure!

Après la lecture de ce livre merveilleux, je me suis sentie remplie d’amour, de bonheur et de motivation à changer et faire bouger les choses.

Voici sa liste en 30 points

1.     La volonté

2.     Oui!

3.     S’écouter

4.     Je vais vous prendre

5.     Visualiser et ressentir

6.     Responsable ou irresponsable? Voilà la question

7.     Quel hasard merveilleux!

8.     Pourquoi ça m’arrive à moi?

9.     L’hypnose

10.  L’ego

11.  Merci!

12.  Avant de mourir, je veux

13.  Le plein de positif

14.  Le régime mental

15.  Le choix

16.  Quel est mon talent?

17.  Je ne suis pas…J’agis comme

18.  Le jugement

19.  Je suis fabuleux!

20.  Le pouvoir des mots

21.  Le lâcher-prise

22.  Le pardon

23.  Au cas où

24.  Je me connecte à mes émotions

25.  Je communique pour me faire du bien

26.  La loi de l’attraction

27.  Le pouvoir de l’argent

28.  Les petits changements font une grande différence

29.  J’ai investi, j’ai appris, j’ai grandi

30.  L’équation du Bonheur

http://info-culture.biz/2015/11/03/la-liste-de-jeremy-demay-un-livre-fabuleux

SNJÒR, roman polar de Ragnar JÒNASSSON, 2016, 347 pages

02/08/2016 15:47 par livresentete

  • SNJÒR, roman polar de Ragnar JÒNASSSON, 2016, 347 pages

    SNJÒR, roman polar de Ragnar JÒNASSSON, 2016, 347 pages

    02/08/2016 15:47 par livresentete

JÒNASSON Ragnar

 SNJÒR, Éd. de La Martinière, 2016, 347 pages

 Roman du genre enquête policière,  polar du bout du monde nordique, près du cercle polaire, en ISLANDE. Un roman qui nous fait connaître la culture islandaise et son mode de fonctionnement social malgré le froid et les nuits prolongées.

Des personnages attachants, discrets, très réservés à l'image  de la vie nordique. ARI THOR,un jeune inspecteur de police débutant de 24 ans  et plein de promesse. Il aimait le sens de la responsabilité et la pulsion de l'adrénaline.  

Un auteur de talent à découvrir.

Gilles Lagrois, Auclair, Québec

www.livresentete.vip-blog.com

 "La tache rouge était comme un cri dans le silence."

 SNÒR, signifie neige en islandais.

ULFUR."Vous la fermerez  quand vous serez mort.Ça a calmé tout le monde."

ARI.THOMAS."Tu fais encore une connerie et c'en est fini pour toi, ici."

 

Pour en savoir davantage:

                                          

   Résumé :

"Snjór. La neige, en islandais. 
Celle qui tombe sans discontinuer sur la ville la plus au nord de l’Islande, Siglufjördur. Un village de pêcheurs auquel on ne peut accéder que par un tunnel étroit, creusé à même la montagne. Ari Thór, qui vient de terminer l’école de police à Reykjavik, y est envoyé pour sa première affectation. Sa fiancée refuse de le suivre dans ce trou paumé. 
Siglufjördur, la ville où il ne se passe rien, où personne ne ferme jamais sa porte à clef. Mais voilà : une jeune femme est retrouvée morte, à moitié nue dans la neige ; un vieil écrivain renommé fait une chute mortelle dans le théâtre local... Ari Thor se retrouve plongé au cœur d'une petite communauté où chacun tient l’autre par ses mensonges et ses secrets.Une avalanche et des tempêtes de neiges incessantes ferment temporairement l’accès du tunnel. La nuit polaire ne réserve plus une seule minute de jour… Un effroyable sentiment de claustrophobie submerge peu à peu Ari, que viennent également tourmenter des résurgences de son passé. L’étau se resserre autour du policier, aveuglé par la neige et les faux-semblants, sombrant dans sa propre noirceur.
Angoissant, entêtant, Snjór est le premier roman de la série Dark Iceland." L'éditeur

" Ici, avec SnjorRagnar Jonasson nous fait découvrir sont pays natal mais encore plus une communauté à l'apparence sans histoire. Entre claustrophobie et paranoïa, l'auteur nous emmène dans un huit clos où l'on se rend compte que les petites villes où tout le monde se connait sont peut-être les pires.
Nous suivons l'histoire, en grande partie, à travers les yeux de Ari Thor, un tout jeune policier qui se voit offrir un poste dans une ville du Nord de l'Islande, un lieu reculé où la neige est reine et où tout le monde se connaît. L'ambiance est déjà posée dès le départ. Que ce soit la ville en elle-même, isolée, coupée du reste du monde une grande partie de l'hiver, la neige étouffante, ou bien la communauté où les étrangers (entendez par-là ceux qui ne sont pas nés à Siglufjördur) ne sont absolument pas considérés comme des habitants mais des choses curieuses, l'hostilité est de rigueur. Mais Tomas, le chef de la police local ne cesse de nous dire que Siglufjördur est une petite ville tranquille où jamais rien de ne se passe. Bien entendu, vous le voyez venir gros comme une maison : quelque chose se passe.
Un accident survient est la petite ville de Siglufjördur est bouleversée dans tous les sens du terme. Et ce qu'il y a de bien avec les petites villes, surtout dans les romans policiers, c'est qu'il y a tout de suite une ambiance bien particulière. Personne ne semble pouvoir être le suspect, et en même temps, tout le monde a un secret. Mais impossible d'enquêter réellement sur son voisin, c'est assez mal vu. Cela pourrait avoir des airs comiques, mais il n'en est rien. On se rend rapidement compte que les choses ne vont pas être évidentes, que les pistes ne seront en rien aisées, si elles veulent bien se révéler. Cette communauté étriquée, isolée du reste de la population devient alors un dôme imperméable qui gangrène, un condensé de sentiments et ressentiments qui ne pourra qu'un jour où l'autre explosé. L'ambiance est assez lourde à de nombreux moments, la sensation de mal être de Ari Thor accentuant encore plus cette impression.
L'enquête avance doucement nous permettant par la même occasion de découvrir Siglufjördur et ses habitants. Aucune piste ne ressort vraiment, tour à tour chacun est suspect, et notre héros finit même par déterrer des choses peu reluisantes. Il n'y a, au final, pas tellement d'action, mais le roman est prenant nous dévoilant petit à petit des personnages à multiples facettes qui n'ont au final qu'un réel soucis : bien paraître aux yeux de tous. le tout est rythmé de façon très intelligente. D'abord parce que nous avons droit de temps à autre au point de vue des divers personnages que nous rencontrons. Je trouve toujours cela très intéressant, surtout que l'auteur ne dévoile rien jusqu'aux toutes dernières pages. On en apprend plus, on découvre les « vraies » personnalités des personnages, les pistes se brouillent. Nous avons aussi le tout premier chapitre. Il nous présente une agression qui au final ne revient qu'au milieu du roman mais qui ouvre tout de suite « l'appétit ». Une autre entrecoupe les différents chapitres. On ne sait pas trop qui sont les personnages, ni quand elle a eu lieu, ni où. C'est déroutant car jusqu'à la fin je cherchais à faire des connexions sans y parvenir, mais encore une fois, c'est un choix judicieux car en temps que lecteur, c'est encore un autre « indice » auquel on s'accroche. Et le but de ce genre de lecture est souvent pour moi, de trouver le coupable avant qu'on ne l'annonce. Un petit jeu auquel je ne suis pas parvenu et c'est une preuve de qualité pour moi."

www.babelio.com

UN VOISIN EXQUIS, roman thriller de Elizabeth McGREGOR, 1994, 320 pages

29/07/2016 00:07 par livresentete

  • UN VOISIN EXQUIS, roman thriller de Elizabeth McGREGOR, 1994, 320 pages

    UN VOISIN EXQUIS, roman thriller de Elizabeth McGREGOR, 1994, 320 pages

    29/07/2016 00:07 par livresentete

McGREGOR Elizabeth

UN VOISIN EXQUIS, roman,1994,320 pages

 Un roman du genre thriller, grands frissons, bouleversant: tout cet amour transformé en douleur, en haine, en malheur. Un drame d'amour tant celui de son père tordu que celui de son voisin pourtant si attentionné, exquis.

Deux amours douloureux, insensés; reste un amour nouveau, inaccessible.

PAUL, le voisin, yeux désagréables.

JOHN DAVIES, jeune homme de dix-neuf ans, peau brune, étudiant universitaire.

ÈVE, enseignante, trente-cinq ans.

BILL, son père, 60 ans, maladie Alzheimer.

Un roman qui ne laisse pas indifférent, une auteure de talent à découvrir pour qui aime le genre.

Gilles Lagrois, Auclair, Québec

 www.livresentete.vip-blog.com

 

PAUL. "C'est  comme si tu étais mariée avec lui."

"PAUL n'avait que faire de BILL, il n'en voulait pas. Qu'il disparaisse. Qu'il meure."

PAUL.ÈVE."Elle n'avait pas le droit de lui mentir."

"...aimer c'était aussi une façon de se protéger contre la vie, de se protéger contre les blessures..seulement désirer le complet bonheur  de l'autre."

"L'amour était simplicité et plaisir...un geste de confiance."

 JOHN. "L'univers entier s'était réduit à un visage et à un seul corps. Il était amoureux. Voilà pourquoi la musique existait...pourquoi les gens existaient."  

"On aurait dit que de l'électricité jaillissait de cet homme..un homme en crise."

"C'est comme s'il avait basculé dans un monde parallèle... quelque chose d'anormal."

"L'amour peut être destructeur."